Après le Colonel Khadafi, le climat ici en Afrique est on dirait au recueillement. Tout le monde s'interroge a qui le tour?
au Tchad, il y a des étincelles (la rage des étudiants, la grogne des docteurs "tchoukous", le mécontentement des anciens combatants...) qui peuvent LEUR permettre d'allumer le feu. Au Cameroun, le résultat des élections peut être une source d'inspiration pour inciter à un spectacle dramatique (style Gbagbo). Après le "printemps arabe", il y a des risques d'entrer dans une nouvelle saison: "l'automne Afrique centrale". Jeunes africains soyons vigilents, c'est notre sang qui est versé pour assouvir LEURS sadiques desseins.
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